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jeudi 2 avril 2015

La gourmandise au bout de l'objectif



Photo Elodie Petit
Parmi les cinq sens, la vue est sans aucun doute celui qu’Elodie Petit, photographe professionnelle, spécialiste de l’image culinaire, a su développer le mieux pour le plus grand plaisir des gourmands et des amoureux de l'art culinaire.

A cinq ans déjà elle, prenait le Polaroïd familial pour photographier ses poupées ainsi son chat qu’elle n’hésitait pas à mettre en scène! A neuf ans, sa mère, à qui ce don n’avait pas échappé, lui offrait son premier appareil photos argentique, le ‘Nikkormat'.

Pour Elodie, la voie était tout tracée; pas la peine de se creuser les méninges pour deviner ce qu'elle souhaitait faire! Auriez-vous posé la sacro sainte question des adultes, "que veux tu faire plus tard?", que la réponse aurait fusé; "je veux être photographe!"
 
Photo Elodie Petit

Son bac littéraire en poche, Elodie s'engage dans des études de photographie à Icart photo à Levallois et en ressort diplômée à dix-neuf ans. Elle prend ses premières photographies professionnelles dans le milieu automobile. Etonnant pour une jeune femme de se plonger dans un milieu si macho! Mais Elodie ne recule devant rien et de dire: "éclairer une voiture est à peu près ce qu'il y a de plus difficile après les bijoux et l'argenterie", sous entendant que c'est une excellente formation. Ensuite, elle devient l'assistante de Marie Hennechart, photographe qui a travaillé pour la presse New-yorkaise et avec qui elle a beaucoup voyagé lors de reportages.

A l'occasion d'une rencontre avec le PDG d'un grand traiteur parisien, ce dernier lui confie ses photos pour ses cartes. Succès mérité, car Elodie a le don de vous faire saliver! L'éclairage et le piqué de ses clichés vous laissent rêveur... vous n'avez qu'une envie, déguster ce qu'ils représentent... ou vous mettre illico presto aux fourneaux!!!!

Elle affiche déjà un beau palmarès avec une liste de grands chefs qui lui ont fait confiance, tels que :

Photo Elodie Petit

     
  • Vincent Thiessé (chef exécutif et directeur de création de  Fleur de Mets)
  • Florent Branchu (créateur de l'agence culinaire chefs&co)
  • Jennifer Taieb (candidate de Top Chef 2014)
  • Mathieu Moity (chef du restaurant O divin)...




Photo Elodie Petit
La liste n'est pas exhaustive et va s'allonger au fil du temps car le talent de cette jeune photographe ne demande qu'à s'affirmer. Je vous invite à faire un tour sur le site d'Elodie pour déguster ses photos.





www.elodiepetit.com
  Crédit photos: Elodie Petit                                                                        

mardi 8 juillet 2014

Une solution globale Web 2.0 pour la restauration


L’impact d’internet change notre vie au quotidien, notre mode de consommation, notre perception de la société.

L’information étant accessible à tout moment à travers nos portables, nos ordinateurs, nos tablettes et bientôt nos lunettes, un reflexe naturel et facile s’est instauré : rechercher constamment cette information. Elle doit s’obtenir rapidement et être la plus complète possible. S’afficher sur la toile permet d’augmenter sa crédibilité. L’absence de visibilité profite aux concurrents.

L’évolution des comportements d’achat des consommateurs nécessite de la part des groupes de restauration ainsi que des indépendants d’intégrer l’utilisation d’outils tels qu’internet  (avec les réseaux sociaux, les sites communautaires de critique gastronomique…) et le web 2.0 dans leurs politiques commerciales.

La crise n’épargne plus le secteur de la restauration. Selon l’étude de B.R.A. Tendance Restauration / Food Service Vision 2013, ce secteur a subi une baisse de fréquentation avec un recul de - 2.2 % en 2012 par rapport à 2011 et de -1.3 en 2013. Néanmoins, toujours selon cette étude, la consommation reste quasi stable  avec des dépenses totales en restauration commerciale estimées à 36.1 milliards d’euros en 2013 contre 30 milliards en 2012. La concurrence est très élevée, le bouche à oreille ne suffit pas pour gagner en notoriété.

La start-up nantaise Wysifood qui édite une solution web dédiée à ce secteur d’activité souligne qu’un restaurateur sur trois est équipé d’un site internet et seulement 15 % d’entre eux sont adaptés aux mobiles.

Côté restauration trois principaux freins sont à l’origine du développement des sites internet :
  • Le manque de temps.
  • L’investissement qui peut s’avérer élevé.
  • Le niveau de technicité nécessaire pour créer un site adapté et le faire évoluer.
Côté consommateurs les études démontrent que  près de sept personnes sur dix vont sur internet pour se renseigner sur le restaurant, 50 % des recherches se font sur un mobile et sept personnes sur dix souhaiteraient réserver une table ou commander un plat par le biais d’internet.

La présence sur les réseaux sociaux et sur les sites communautaires ne suffit plus, d’autant que les restaurants doivent être vigilants par rapport à certains facteurs sur lesquels ils ne peuvent agir, tels que les mauvaises critiques qui émanent des concurrents. De plus, ces derniers peuvent être soumis, par certaines centrales de réservation, à des pressions liées aux prix ou aux quotas de réservation.

Il est donc essentiel de pouvoir acquérir son indépendance à travers un outil performant et complet.

Intéressé par l’offre de Wysifood, j’ai souhaité en savoir plus sur ce que cette jeune start-up propose en matière de services. J’ai pus avoir une démonstration en direct depuis mon PC, avec Guillaume Vincent (fondateur de Wysifood) et échanger quelques propos 

Positionné sur un cœur de métier et des services très bien ciblés, Wysifood a su créer, d’une manière pratique et intelligente, un guichet unique pour la gestion stratégique d’un service web, tant en France qu’à l’international,  pour la restauration et les foodTrucks. Le postulat de base est que la performance ne passe pas seulement par le web mais par un ensemble d’actions imbriquées les unes dans les autres créant ainsi une stratégie d’acquisition globale.

Par le biais du back office de Wysifood, le restaurateur dispose d’une palette d’actions telles que (liste non exhaustive) :
  • Piloter son site internet multi-supports.
  • Obtenir des statistiques (clients, produits, CA…).
  • Etre référencé dans près de 20 annuaires web dédies aux restaurateurs.
  •   Constituer une base de données clients / fournisseurs.
  • Envoyer des newsletters à ses clients pour les fidéliser.
  • Diffuser ses offres sur tous les réseaux sociaux instantanément.
  • Prendre les réservations, les commandes ou les livraisons depuis son site et ceux de ses partenaires ainsi que depuis tous les réseaux sociaux.
  • Géo localiser les sites de livraisons.
  • Récupérer les avis et les notes de ses clients sur les produits et services…
Plus qu’un site internet, cet outil est une grande source d’informations qui permet d’évaluer les points forts et les points faibles, réduire les coûts, informer, gagner du temps…

Wysifood a su également adapter son offre tarifaire avec deux niveaux de prix sous forme d’abonnement annuel. Particulièrement attractif, ces derniers s’adaptent parfaitement au secteur de la restauration.

Cette jeune entreprise a su capter les enjeux d’un secteur dynamique mais soumis à de fortes contraintes en proposant un service international global adapté.

http://www.wysifood.fr/
 

jeudi 3 juillet 2014

Une histoire de boîte



Isabella Bembo
 
Des études en architecture entre Venise et Paris, une formation en édition chez Gallimard, des publications en Italie pour les assurances Generali ou encore pour la Mairie de Trieste, chargée de
programmation culturelle dans la ville de
Muggia...  Isabella Bembo croise sur son chemin une industrie pâtissière, la Maison Eppinger, référence historique dans sa ville natale de Trieste où elle commence une aventure tout en douceur.
 
Une série limitée de tasses à café dédiée à la régate "Barcolana", qui chaque automne teint de blanc le golf de Trieste avec plus de 2 000 voiliers, marque les débuts de cette collaboration.
 
Par la suite elle signe le packaging des boîtes de gâteaux que la Maison Eppinger propose depuis 1848.
Aujourd'hui , elle développe l'image de la marque qui bientôt va ouvrir un nouvel espace de vente dans le centre ville et qui regarde loin...
 
Histoire de boîte
 
Dans les boîtes qu'elle réalise pour cette pâtisserie, on retrouve sa passion pour les livres et l'influence du "genius loci", le charme du lieu où est située cette institution. En effet, le restaurant regarde dans les yeux la statue d' Umberto Saba, l'un des plus grands poètes italiens du XXème siècle, et se trouve à côté de la librairie Antiquaria, endroit magique tenu autrefois par le poète lui-même et encore aujourd'hui lieu de rencontres.
 
Avec ses boîtes, elle réalise un objet qui peut être réutilisé, doté ainsi d'une nouvelle vie.
 
 
Des boîtes pratiques, racées, qui vous racontent une histoire : blanches à l'extérieur, avec une robe verte pour le presnitz et une robe rouge pour la putiza, celles-ci sont pensées pour être ensuite des classeurs où ranger ses recettes, ses livres de cuisine... et côtoyer les livres de nos bibliothèques. A chacun sa gourmandise. Sur la tranche, elles ont un marque-pages détachable sur lequel on peut lire des poèmes, des aphorismes ou bien inscrire le titre de leur nouveau contenu.

Les boîtes ont été le sujet d'une étude spécifique pour répondre d'abord aux nécessités liées à la nature du produit alimentaire, ensuite au montage, au stockage et au transport avant et après avoir été conditionnées.

Boîtes gourmandes puis boîtes à idées, réinventées au gré de la fantaisie de chacun, voila un design malin et utile qui valorise une marque et la positionne sur la qualité et le haut de gamme.

Une histoire à suivre...